Bonjour et bienvenue dans cet édito de Dogmazic.net pour avril 2020. Vous trouverez ici les sorties d’album du mois écoulé, les trésors exhumés de notre archive qui compte plus de 55 000 titres, et les nouvelles de notre forum.
Nouvelles publications sur Dogmazic.net pour le mois écoulé
Un morceau unique de trois minutes ici, de la techno assez traditionnelle, avec différents tests de sonorités.
— olinuxx/trebmuh
Un nouvel album de contes modernes de Yohan Berrouet. Presque une heure et demi en tout.
— olinuxx/trebmuh
Trois morceaux pour environ cinq minutes au total ici. Un genre de délire il semble. Écoute pas habituelle.
— olinuxx/trebmuh
On continue avec les créations de confinement. Deux très très courtes pistes de musique mélancolique, vu le nom des morceaux sans doute que de nouveaux seront ajoutés dans les prochains jours.
— DECAY/Nomys
Une piste par jour dans cet album ou ce mêlent pêle-mêle du rock, de l’électro, des bruitages, du blues, du lo-fi / chiptune, du cabaret, dessin-animé, de la pop, du synthétique des années 80, du crooner. Des pistes relativement courtes entre une et trois minutes. Bref, de très nombreuses inspirations et ambiances pour cette écoute intéressante.
— olinuxx/trebmuh
Jacques nous a gratifié d’un très bon « sabat matter » l’an dernier. Voici trois compositions très poétiques que les adeptes de ce style de musique (dont je fais partie) goûterons avec plaisir. Le jeu simple est agréable de l’instrument nous berce voluptueusement au long de ses notes.
— ardoisebleue
Musique d’église ? Musique de chambre ? Musique classique ? Autre ? Je n’ai probablement pas les bons mots ici pour définir cette musique, j’espère que Jacques me le pardonnera. Écoute relaxante et intéressante, ça change beaucoup de ce que l’on entend habituellement sur Dogmazic. Et c’est très bien ! Merci pour ce partage Jacques G. Buvat.
— olinuxx/trebmuh
Un truc malaisant, tant au niveau audio, qu’au niveau des titres des pistes. On va dire que c’est dans le style « ambiant ».
— olinuxx/trebmuh
Cet album nous propose une incursion dans la musique sérielle électronique dont l’auteur disciple. Le ton lourd et sombre de la partition peut nous indisposer. Le sujet invoqué est dérangeant voire nauséabond mais, prédateur ou victime, le compositeur nous laisse perplexe, surtout à l’examen de ces autres œuvres.
— ardoisebleue
Un morceau unique ici, qui ressemble à un travail en cours, un arrangement/maquettage quoi, avec un mélange entre instrument réel joué, et instruments synthétiques. Le morceau fait un peu plus de quatre minutes, et rappelle l’automne, ou plutôt le passage de l’hiver au printemps. Morceau léger, envolé, très chouette écoute.
— olinuxx/trebmuh
Un certain mélange de styles musicaux qui s’entrecroisent, commençant au style électronique ancestral passe à travers un son de hautbois/basson, auquel s’ajoutera un rythme saccadé plus « contemporain ».
Premier titre d’un album ? Si le reste suit ce filon, cela nous promet un bel album.
— ardoisebleue
Un album de confinement, entièrement à l’harmonica. On passe allègrement de la mélodie grinçante et joyeuse au blues endiablé. La légère saturation de la captation nous tiendra réveillé tout le long ainsi que les sons de respirations. Les titres des morceaux nous raconte le conte, illustré en musique. Il se dégage de l’ensemble pas mal de bonne humeur et d’humour, c’est donc sans se prendre la tête qu’on peut se plonger dans ce petit album.
— DECAY/Nomys
Et encore un album à thématique Covid-19. Les 6 titres présentés ici semblent être issue d’une session d’improvisation live. On retrouve divers samples et sons accompagnés, soit de plages d’impro à la guitare électrique, soit de synthés ou effets sonores. Le rendu global sonne très garage (dans le bon sens !) et si tout n’est pas accessible, l’ensemble n’est pas pour autant agressif, mais plutôt dans une veine noisy-ambiant bien trippante. L’album termine sur un morceau bien groovy donnant bien envie de relancer la lecture immédiatement.Vous aurez reconnu dans cet album une production de l’éternel Colibri Necrophile.
— DECAY/Nomys
Du post rock chanté en français ou en anglais avec une voix féminine principalement, et un accompagnement de voix masculine de temps à autre. Chouette découverte musicale en ce qui me concerne. Ça groove, c’est mélodieux, ça joue (musicalement, c’est propre), et c’est créatif. On peut noter ça et là des trucs aux limites du hardrock voire du power métal ou éventuellement du progressif. À titre personnel, je préfère les choses chantées en français (y’a moins d’accent !). Hop, c’est dans mes favoris !
— olinuxx/trebmuh
Alors là, je suis charmé. On a à faire à de vrais musiciens, qui jouent avec leurs tripes. Le chant inspiré et féminin et plus que bienvenue (et toujours aussi rare dans les formations Rock, on y perd beaucoup), un peu sous-mixé par rapport au niveau des instruments. De grosses guitares et des mélodies tricotées harmonieusement. Une basse bien présente, vomissant par moment (distortion) sur Visceral. La batterie claquante à souhait (caisse claire).J’ai pensé à un groupe qui officiait dans le libre « Anabase », en plus sombre et réfléchi. On est à mi-chemin entre le Rock alternatif, le Rock Progressif et le Post Rock. De bonnes montées dans les progressions d’accords. Le Bassiste connaît bien son job. Un album réussi, mais le chant légèrement en dessous des instrus, me laisse un goût d’inachevé (mix). S’il fallait donner une note à la Jacques Martin, j’y mettrais un bon 8,75/10. [ré-édit] la voix a l’air plus présente sur les titres suivants, c’en est même un régal, y compris les harmonies masculines. Si vous désirez entendre de l’authentique, on y est !Bon pour quelques écoutes, et même plus (en concert, ça doit être quelque chose).PS : J’ai pensé à « The Gathering ». Très bon moment passé en leur compagnie.
— Calyman
Du post rock chanté en français ou en anglais avec une voix féminine Enfin du rock symphonique : ce style me manquait. « Viscéral » lance parfaitement l’affaire, j’ai même droit au moment guitare sèche qui calme la tension avec « Dancing Queen ». Dans la « vieille au pas lent » une interruption brutale, comme j’appréciais dans le groupe Ange confirme mes convictions. C’est du bon.
— ardoisebleue
Un split EP deux titres. Le rock racé et rocailleux de Stone From The Sky côtoie ainsi le grunge-rock teinté de cold wave de Turbo Panda. Deux ambiances très différentes mais complémentaires.
— DECAY/Nomys
Des côtés rock/post-rock/epic-rock pour « Stone from the sky « voire hard-rock dans le chant. Et du rock plusse tendance pop du côté de « Turbo panda ». Sympa.
— olinuxx/trebmuh
Étonné de la qualité de la production. Comme le précise olinuxx, on a à faire à du Post Punk / Post Rock, avec des pointes Hardcore. Les deux titres laissent place à la respiration. Mélancolique à souhait, j’ai pensé à At the Drive et Omar Rodriguez Lopez, et Causa Sui pour le son des guitares et de la basse (avec son drive bien présent). Le chant, lui, est guttural lorsque la dynamique s’accentue. Le batteur n’est pas en reste, un jeu bien à l’aise (c’est peu dire). Quand au chant, mi-parlé/mi-scandé, il apporte une bonne coloration, et lorsqu’il s’énerve, nous donne droit à un chouette timbre (Turbo Panda). En bref, une formation à suivre absolument, ils ont du chien !D’ailleurs, je vais fouiller l’archive afin de savoir s’il y a d’autres sorties de cette formation, c’est du solide, et ça promet.Je viens de voir que ce sont les animaux sympathiques de l’AMMD, dont les qualités musicales ne sont plus à démontrer.
— Calyman
Les voyages de George Gallamus ressemblent à une longue fresque baroque où se mêlent pop, rock noisy et jazz dans une ribambelle de chansons parlées ou scandées. Le tout évoque un spectable arty ou le théâtre de rue. C’est un bon album pour peut qu’entrer dans un univers aussi bizarre ne vous fasse pas fuir. Une bien belle découverte pour moi !
— DECAY/Nomys
Neuf morceaux de punk-hardcore, du chant hurlé en retrait parfois, des plans aux rythmiques alambiqués souvent. Un album remplie de moments mémorables : le chant de « La Galère », les breaks de « Beaucoup d’Avoine », le solo de sax de « 3-3-3-4 ». Bref que du bon pour ce live (?) si vous aimez le style !
— DECAY/Nomys
Ancien album de 2014. Ensemble de titres dont je qualifierais le style d’expérimentation. La curiosité incite à explorer de bout en bout l’album où des moments de découvertes sont parfois incroyablement étonnant.
— ardoisebleue
Un album de 11 morceaux, du gros punk rock qui tâche et qui déboîte. Un peu plus d’une demi-heure de colère saturée, de cris énervés, et de batterie qui ajoute de la puissance à un ensemble batterie/basse/guitare/chant qui part franchement en blast à tendance métalleuse à certains moments. Des parties de chant tantôt en espagnol, tantôt en français, tantôt en anglais. Âmes sensibles, s’abstenir.
— olinuxx/trebmuh
Environ 70 minutes pour cet album concept avec des ambiances musicales et des musiques, le tout complémentées par des voix parlées en français racontant l’histoire de George. Un style musical très piquant, qui balance dans tous les sens et peut rappeler par certains points l’univers de Magma, poétique et burlesque.
— olinuxx/trebmuh
Deux excellents morceaux de klezmer acoustique par les Barons Freaks. Normalement la musique s’accompagne de films (teaser par ici : https://exode.me/videos/watch/c80ad096-3fbc-4807-958c-5cc8c991e03e ), mais les morceaux suffisent largement à vous faire entrer dans leur univers baroque et burlesque.
— DECAY/Nomys
Une longue dérive dans une pluie de sons sous laquelle nous rodons à la recherche de la sortie…
–ardoisebleue
50 min d’ambiant pour trois morceaux, on voit ici se développer un paysage contemplatif à base de guitares. Le premier titre est très calme et peu à peu la saturation arrive pour finir dans le dernier titre par 9 minutes hypnotiques et machinique.
— DECAY/Nomys
Split EP 4 titres de Stone From The Sky et Soft Rains. Deux titres de stoner instrumentals vraiment cool et groovy suivis de deux titres ambiants se développant sur près de 15 min chacun. 45 min au total, les morceaux de SFTS font presque offices d’intro pour les deux pièces orientées guitares lointaines de Soft Rains. Du tout bon, avec une mention spéciale à la monté en puissance du titre éponyme.
— DECAY/Nomys
Un pur bon album de métal mélodique instrumental ! Des morceaux longs qui prennent le temps de développer leurs ambiances. Ça rappelle par moment Stone Sour, agrémenté de ponts doomesques et de plages mélancoliques qui m’ont rappeler le post-black métal d’Agalloch. Une vrai réussite !
— DECAY/Nomys
Environ cinquante minutes d’audio ici. Atmosphérique, inquiétant, et vaporeux sont les premières impressions lorsque l’on enclenche la lecture. Puis la batterie et les guitares arrivent pour poser une ambiance de bistrot dans un Mad Max. Du rock, tendance blues, du métal puissant et survolant, du progressif, bref un mélange des genres qui pose une ambiance assez unique. Toujours pas de paroles, que de la musique ici.
— olinuxx/trebmuh
Six morceaux pour environ soixante minutes de musique ici. Ambiance, atmosphérique, planant, rock, guitares électriques, basse électrique, batterie acoustique, émocore un peu sur les bords, power métal sur les côtés, voire même du downer, et surtout, surtout, surtout, groovy ! Très entraînant ! Pas que les morceaux soient pétris tout le temps de rythmes et de cadences endiablantes, mais on est rapidement pris dans l’ambiance imposée par cette musique.
— olinuxx/trebmuh
Environ trois quart d’heure de musique présentée sous forme de sept morceaux ici. Musicalement, c’est du stoner, il n’y a pas de doute, et ça tire un peu vers du émocore planant, un peu post-rockeur sur les entournures. Pas de chant, que de la musique. On peut regretter que la batterie soit un peu trop en avant (et c’est un batteur qui écrit ça !) mais on a quand même un bel aperçu de l’idée musicale de cet opus. Et puis, les captations live, c’est pas toujours évident. Les guitares seront néanmoins bien présentes, et la basse se laissera deviner de façon lointaine.
— olinuxx/trebmuh
Heureuse tentative que cet album au style rock expérimental. « BRU IN JERICHO » nous présente une transformation de style populaire médiévale tout à fait réussie. Un moment étrange mais divertissant.
–ardoisebleue
Album final de la Kour, on y décernera quelques prémisses du Plagiat à venir, entre les interventions de Gabriel Yacoub (Malicorne), Yüla S. et Souv Ponk. Si le Sebkha-Crew semble content de nous quitter définitivement, nous nous sommes heureux de pouvoir les écouter encore en encore jusqu’à plus soif ! La qualité sonore et musicale reste au rendez-vous et le délurage habituel aussi. Si le Ne[XXX]t Epilog (l’album précédent) représentait une certaine apogée du style délirant du groupe, parvenant toujours à surprendre, à faire tourner la sauce et les serviettes. Crptz N Tpstrs est lui plus posé par bien des aspects, plus de parties acoustiques, plus de passages « calmes », une originalité un peu plus sérieuse et contrôlé au service de ce dernier chapitre qui signe la fin de Sebkha-Chott.
— DECAY/Nomys
Version augmentée de l’album parut en 2012, on commence par un happy birthday dantesque et un rappel, si besoin, que la Kour fait ce qu’elle veut, quand elle le veut. Musicalement on reste dans le métal-barré-psyché-trad-électro du groupe. Ça envoie du pâté à coup de double pédale de synthé qui font « tuit-tuit » et de solos de sax. L’aspect free-jazz s’exprime largement dans les rythmiques syncopées, les plans musicaux improbables et dans la longueur des morceaux principaux de la galette (plus de 16 minutes).
— DECAY/Nomys
Un titre unique ici de presque neuf minutes. Oué, neuf minutes, pas très « radio edit » et juste pour ça, c’est déjà la classe. Musicalement, c’est encore un mélange audacieux dont seul Plagiat à le secret, mêlant vocodeur, harmonie R’n’B, hip hop, trip hop, rock’n’roll, et poussées énervées blastantes alternées avec des mélodies langoureuses.
— olinuxx/trebmuh
La disparition de la Kour Ohrelandaise (cf. Sebkha-Chott) a donné lieu à l’épanouissement du duo Plagiat qui nous délivre ici son premier morceau (clip en fait, visible par là : https://videos.domainepublic.net/videos/watch/3448b75c-4f6a-4f01-a779-d5b10e57b6b0 ). Trap-Rap-Hip-Hop sur-autotuné et sous-hallucinations, ils ont conservé les plans métal syncopés, mais ont quitté les rives de la grande musique pour se complaire maintenant dans l’élaboration de singles marketés pour les réseaux sociaux et les médias de masses. En deux mots : c’est cool.
— DECAY/Nomys
Une bonne douzaine de minutes de musique réparties en 3 morceaux ici. D’un genre hip-hop, autotuné, rythmiquement décalé, et mélodieusement bien dérouté également. Ça tire sur des pointes métalleuses et très très vénère. Bref, probablement un chouette 3-titres à offrir à votre grand mère.
— olinuxx/trebmuh
Un deux titres de moins de cinq minutes tout confondu. Un délire musicalo-parlier qui a un étrange arrière goût de Naheulbeuk. Complètement barré. À écouter au petit réveil.
— olinuxx/trebmuh
Pour accompagner un long moment de détente, pointé imperceptiblement de mélancolie : je recommande cet album. Jusque « flânerie1 » on se laisse aller, traîné par des pensées vagues, puis arrive « suitebaroquepourpiano1 » une série de notes saccadées, bondissantes nous tire de cette torpeur pour apercevoir des mouvements vifs, une frénésie d’événements et, finalement nous revenons à nos divagations. J’aime beaucoup « preludeaujour »…
— ardoisebleue
Quatre pistes pour environ un quart d’heure de musique électro pop rock. Avec du chant en anglais.
— olinuxx/trebmuh
Plus de 2 heures de son, de bruit, d’ambiances, de sensations auditives, ou d’atmosphères.
— olinuxx/trebmuh
Un mélange intéressant de sons électroniques autour d’une structure de répétition qui nous donne des musiques à entendre sans chercher une normalité dans la sensation qu’elles nous procurent.
— ardoisebleue
Une électro-sérielle qui nous emmènerait d’un crépuscule vers l’aube d’un nouveau JE ? Faiblement déçu par la fin abrupte à laquelle je ne m’attendais pas.
— ardoisebleue
Un style électronique bien rythmé, agrémenté çà et là de textes politiques redondants. À écouter sans prendre parti au sens premier du terme !
— ardoisebleue
« Sommeil profond » nous suggère une constance et s’extirpe de l’album dont la plupart des titres semblent être des reprises.
–ardoisebleue
Les pépites exhumées de l’archive
En ce temps bizarre où la rue est vide, où l’être humain, soumis à la loi d’une minuscule chose, se terre, craintif avec raison, l’écoute de la « valse à Lisa » pourrait nous faire rêver : de déambuler le long d’une rue pentue, aux échoppes ouvertes, aux enfants piaillant de tous cotés… Mais oui, il reviendra ce temps !Cet album me plaît, une mélancolie de circonstances se dégage de trois de ces titres. Je l’ai mis dans ma libremusithèque.
— ardoisebleue
Nouvelles du forum et autres
par Shangri-l,
Calyman continue sur la série de single qu’il a lancée il y a quelques mois, et qui grandit à un rythme soutenu, avec cette fois « Reinit Yourself » : discussion
On parlait de la SPRé le mois dernier… Qui a finalement répondu à Trafic2Rock que toute webradio, même de musique libre, devait s’acquitter d’une redevance annuelle se comptant en centaines d’euros ! On continue de discuter de cette société de perception des droits ce mois encore, donc : discussion
Grande nouvelle, l’AMMD est de retour sur Dogmazic avec de très nombreuses publications au sein de notre archive de divers de ses groupes et projets. Au passage, ça a été l’occasion de remonter, sur le fil dédié « technique » sur notre forum, quelques remarques et de dépister quelques bogues dans le processus de publication de musique sur Dogmazic.net : discussion
Still Living Creature dévoile en streaming une nouvelle piste mi-house mi-garage de son album à venir « All Year Long » : discussion
Quelqu’un est venu nous trouver pour solliciter notre culture musicale en l’aidant à retrouver une chanson dont il ne sait presque rien : discussion
On discute d’un changement de lecteur audio pour la page web de Radio Dogmazic : discussion http://forum.musique-libre.org/discussion/comment/61825/#Comment_61825
Sinon dans les nouvelles diverses, une personne est encore venu nous voir pour récupérer les accès à ses comptes musicien crées il y a plus de 10 ans… Dogmazic assure la pérennité 🙂 C’est pas tous les acteurs de la musique en ligne qui peuvent en dire autant !
Outro
Ont contribué à la rédaction de cet éditorial de ce mois : Shangri-l, trebmuh/olinuxx, ardoisebleue, nomys, et calyman.
Il est issu d’un travail collaboratif fait par ceux et celles qui s’impliquent dans la vie du projet. Si vous souhaitez contribuer à un prochain édito, rendez vous sur le fil de forum de l’édito du mois sur http://forum.musique-libre.org .
Cet éditorial est librement redistribuable selon les termes de http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0 et vous êtes fortement et librement invités et encouragés à redistribuer cet article ! Si vous le faites, mettez nous le lien où vous l’avez redistribué en commentaire de cet article, ça nous fera plaisir.
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