Qui doit tomber à l’eau ?
On savait que le téléchargement d’artistes souscrivant à la Sacem était illégal, on savait aussi que les paroles des chansons de ces artistes retranscrites sur un site web était illégal, et depuis peu les tablatures retranscrites de ces mêmes artistes sont illégales… Les sociétés d’auteurs mènent une lutte sans merci aux sites diffusant paroles et tablatures sur internet, qu’elles soient tirées de livres (le pire parce que là l’éditeur du livre en question se retournera aussi contre le site), voire même qu’elles soient retranscrites à l’oreille !
Vous avez compris qui tombe à l’eau dans l’histoire…
Décidément, on est bien sur Dogmazic, au moins les artistes présents sur la plate-forme vous donnent les libertés qu’ils veulent grâce à leurs licences, et si vous voulez, vous pouvez les contacter pour leur demander une autorisation ! Et n’oubliez pas, un petit don pour la plate-forme est toujours apprécié !
Les paroles, c’est quand même important d’avoir accès aux textes des artistes… surtout quand il s’agit d’une langue étrangère… j’ai en partie appris l’anglais par ce moyen là.
Et puis elles sont souvent présentes dans les livrets sans que cela engendre un cout supplémentaire., outre celui des quelques pages lors de l’impression.
Les tablatures, avant d’être une solution pour le plagiat, c’est surtout le moyen de rêver des milliers de musiciens, et de se fidéliser à un artiste…
Et pour quelques uns d’entre-eux, d’arriver à la création originale.
Quand on achète de la musique détenue par la sacem, il s’agit uniquement d’un droit d’écoute, pour tout ce qui est à côté, c’est interdit.
Ca a au moins le mérite d’être clair