C’est un choc pour beaucoup d’auteurs, compositeurs et éditeurs, mais nous sommes en guerre et toutes les ressources doivent être allouées à l’effort national.
Une nationalisation bienvenue
Après les dernières lois sur le droit d’auteur, puis les décisions de justice, l’État a décidé de rapatrier toutes les ressources disponibles pour financer les hôpitaux. Ainsi, toutes les redevances pour copie privée des lieux diffusant de la musique, mais aussi les redevances sur les matériels informatiques, les redevances perçues pour le compte de la SPRé par la Sacem sont concernées.
Avec cette nationalisation, l’État permet une gestion plus juste des sommes récoltées en lien avec l’économie réelle du moment, le focus sur un des métiers les plus importants pour faire tourner le pays : l’hôpital.
Jack Gollman approuve des deux mains
Dans une interview en webcam cachée, nous avons pu nous entretenir avec un auteur, compositeur et éditeur les plus influents au sein de la Sacem. « Tout ce qui est bon pour l’hôpital, est bon pour les artistes », a-t-il répété à l’envie. « Et même si c’est pour certains une grande perte de revenus, au moins ils seront bien gérés », ajoute-t-il avec un peu de malice.
Merci. Dans la même ligne du lard ou du poisson 😉
https://librescommeres.fr/read/219
Autour de l’appel à participation à la compilation musicale libre « The World is Over ! »…
Enfin, une initiative digne d’un état en guerre ! Nos soignantes et soignants, dans les hôpitaux et autres lieux où ils font front à l’ennemi perfide, pourront, s’ils entendent ces œuvres qui peut-être les accompagnent dans leur périlleux labeur, imaginer que les redevances perçues par leur établissement iront grossir la caisse de l’effort national. Vive la musique ! Vive l’effort des humbles !