Lieu : salle Jean Dame, 17 rue Léopold Bellan 75002 Paris Métro Sentier
Date : 12 février 2009 – 18h45
Contact presse : Pauline Valaize 06.32.07.08.02 / presse@libreacces.org
Lieu : salle Jean Dame, 17 rue Léopold Bellan 75002 Paris Métro Sentier
Date : 12 février 2009 – 18h45
Contact presse : Pauline Valaize 06.32.07.08.02 / presse@libreacces.org
Après le livre « un taureau dans l’arène » que l’ex-ministre de culture RDDV avait tenté de faire rentrer dans le rang (voir ici), voilà que Philippe Aigrain, l’auteur de « Internet & Création », homme de talent et de probité vient à son tour de faire les frais de la pensée unique.Le 16 janvier prochain aura lieu au palais Bourbon des « assises du piratage », à sens unique comme le titre parfaitement Libération, autour du projet de loi « Création & Internet », aussi nommé HADOPI. Source sur LibérationD’emblée je réfute vigoureusement le terme de Piratage. Je rappelle que le pirate est celui qui vole le bien d’autrui par la violence. Un pirate ça prend des bateaux par le feu, un internaute ça télécharge au pire illégalement de la musique via Internet, sans que la le fichier soit enlevé à l’un par l’autre.Des « assises du de la création sur internet » aurait été un titre bien meilleur. Las, il y’a pire. La liste des invités est unidirectionnelle on y retrouve encore les même SACEM, SACD et autre pourfendeurs comme Michel Thiollière ou Pascal Rogard. Ces assises jugeront seulement à charge et sans aucune chance de plaider une autre cause, une autre vision, une autre intelligence. Qu’on le veuille ou pas, qu’on soit d’accord ou pas le monde de la culture a volé en éclat, et tout est différent et ne sera jamais plus comme avant. Le corbeau sur le buste de Pallas l’a dit déjà.Fort heureusement Philippe Aigrain, l’auteur du livre « internet et création, comment reconnaître et rémunérer la création sur internet » était invité à ces assises afin de faire entendre une autre voix, et montrer une autre voie. Malheureusement il fut retiré de la liste des intervenants le lendemain même de l’annonce de sa participation.
C’est purement et simplement scandaleux ! comment peut on débattre dans ces conditions ? comment peut on oser faire un « coup » pareil à un homme qui se bat depuis des années pour un art libre, et qui propose des solutions concrète de rémunération des artistes ne peut il pas être invité à cette
mascaraderéunion.Et ce n’est pas en renommant aujourd’hui le colloque en « Monde culturel et internet : vers une réconciliation ? » que nous allons être dupés.
En tant qu’éditeur et ami de Philippe Aigrain je m’insurge contre cette pratique malodorante qui vise à inviter un homme à une réunion important pour le congédier le lendemain. Et comme je ne suis pas homme à ne faire que parler je vais également agir, à commencer par ce billet et par vous demander de diffuser l’information autour de vous.
Et qu’on vienne par argumenter sur la non pertinence du modèle économique des licences libres, demandez à Nine Inch Nails ils en rigolent encore http://www.laquadrature.net/fr/ecransfr-nine-inch-nails-gratuit-et-best-seller
Restez libres et ne renoncez jamais…
Guarapita revient en force !
Et c’est du riche : nouveau site guarapita.net , nouveau bloguarapita.net
Et, déjà présents depuis longtemps sur dogmazic (et pragmazic ), voici de plus leur nouveau maxi 4 titres Far far west line, qu’ils nous font l’amitié de mettre en exclusivité pendant une semaine sur dogmazic, trouvable ensuite partout bien sûr, sous CC by-nc-sa. Sans parler de Like a huele pega au complet !
Merci à eux et merci à vous tous.
Yo no les voy a platicar de los temas del ep , ¡solo escuchalos, que es bien paaadre!
Samedi 15 novembre, L’ECM du Florida vous invite un temps de rencontre et d’information ouvert à tous,
organisé à partir de 16h30 dans l’ERI de l’ADEM Florida à Agen
pour démystifier tous les détails pratiques et juridiques de des licences Creative Commons.
JOURNEE MUSIQUE & WEB.
«S’autodiffuser sur Internet, où, quand, comment? »
1er temps, atelier ouvert à 6 participants
11H – 11h30: Accueil des participants.
11h30 – 12h30h: Tour d’horizon des outils existants
(Myspace / Virb / Jamendo / Dogmazic / LAstFM / Deezer) de leur histoire et de leur principe de fonctionnement.
13h – 14h: Auberge espagnole avec les participants.
14h – 16H: Accompagnement à la création et à la personnalisation des espaces.
« Creative Commons & Licences Ouvertes, pour qui, pour quoi, comment? »
2d temps gratuit et ouvert à tous.
16H30 A 18H: Un moment d’information pour découvrir le principe et le fonctionnement des licences « Creative Commons” qui propose gratuitement des contrats flexibles de droits d’auteurs pour diffuser vos créations ».
Autour d’une rencontre et d’échanges avec Emmanuel Sargos et Marc Mercier, respectivement, créateur et membre actif de la plateforme web Dogmazic.
Zoom sur la page rassemblant les artistes et labels libres Agenais!
gratuit pour tous
INFORMATIONS ET INSCRIPTIONS :
gratuit pour tous
contact : simon@le-florida.org olivier@le-florida.org – 95 Bd Carnot Agen (centre ville) – 05 53 47 59 54 –
En partenariat avec Dogmazic, les Cristaux Liquident présentent…
Le festival « Dub en sauce 2 » (recettes méditerranéennes)
vendredi 17 & samedi 18 octobre 2008 – Montpellier
Comme pour la première édition, le festival “Dub en sauce” s’intéresse à une zone de l’Europe particulièrement créative : le bassin méditerranéen. On y croisera et mélangera pour la première fois sur les terres françaises du dub hispano – argentin, Sarde, et du sud de l’Italie.
::: Artistes :::
Arrogalla (LCL rec. Sardaigne) /// Un « one-man-dub » électronique par un archéologue sonore spécialisé dans l’exploration des musiques traditionnelles Sardes.
Jambassa (AQBMP rec. Italie) /// Un retour futuriste aux sources de la « black music » électronique.
King disciple (Montpellier) /// Des bases reggae et dub roots mariées à l’énergie du steppa dub.
PakuPaku (LCL rec. Montpellier) /// Une session mix généreuse et éclectique, roots, electro, digital laptop reggae, drum’n’dub, curiosités et autres perles…
Peak (AQBMP rec. Italie) /// Une excursion « ambient-dub » dans les ambiances paisibles des montagnes du sud de l’Italie.
Roots ista Possee meets Volfoniq (Paris Montpellier) /// Une performance inédite, l’électro-dub instrumental de Volfoniq face au « digital dub » massif de Roots ista posse.
Volatil (LCL rec. Espagne) /// Une fusion multicolore originale pour ce trio Argentino-hispano-anglais(Mc, machines, Dj)
::: Programmation :::
>>> Vendredi 17 octobre – à partir de 19h00
PakuPaku (LCL rec. – Montpellier) : Dj mix dub, reggae & curiosités
Arrogalla (LCL rec. – Sardaigne) : live folk dub
Volatil (LCL rec. – Espagne) : live d’n’b / dubstep + MC
>>> Samedi 18 Octobre – à partir de 19h00
King Disciple (Montpellier) : live dub roots / steppa
Jambassa (AQBMP rec. – Italie) : live digital roots
Volfoniq meets Roots Ista Posse (MontpellierParis): live dub clash !
Peak (AQBMP rec. – Italie) live ambient dub
::: Pratique :::
Le Baloard – 21 Bd Louis Blanc – Montpellier
(Centre Ville / Tram ligne 1 ou 2 – Arrêt Corum)
PAF : 8 euros / soirée
Ouverture des portes à 19h00
+ d’infos :
http://www.dubensauce.org
(compilation sous licence creative commonsen libre téléchargement)
Depuis quelque jours, c’est l’effervescence dans le monde de la musique en ligne : le groupe « Petit Homme » aurait signé le premier accord avec la SACEM pour rester maître de sa diffusion sur internet.
Et ce serait le moyen pour ce groupe de diffuser via une licence ouverte : ce qu’il a fait sur Jamendo avec la licenceCreative commons by-nc-sa 2.5.
Mazette ! La SACEM serait donc compatible avec les licences ouvertes !
Alors, info ou pipeau ?
Prenons les choses dans l’ordre. La possibilité de se réserver les droits internet, n’est pas une nouveauté (n’en déplaise à certains) et je doute que le groupe en question soit pionnier en la matière, mais passons sur ce détail.
Pour comprendre, il faut se référer à l’article 34 des statuts de la SACEM.
Article 34
Nonobstant toute autre disposition des Statuts et du Règlement général, les règles suivantes sont applicables aux auteurs, auteurs-réalisateurs, compositeurs et éditeurs ainsi qu’à leurs ayants droit :
I – Admission à la société – Apport.
L’apport à la société, qui résulte de l’adhésion aux Statuts, peut être :— Soit conforme aux dispositions des articles 1 et 2 ci-avant et s’appliquer en
conséquence à la fois au droit d’autoriser ou d’interdire en tous pays l’exécution publique et au droit d’autoriser ou d’interdire en tous pays la reproduction mécanique de toutes leurs oeuvres dès que créées ;— Soit limité à l’une ou plusieurs des catégories de droits ci-après précisées ou à certains territoires pour l’une ou plusieurs de ces catégories de droits, lorsque la gestion de la ou des catégories de droits auxquelles ne s’applique pas l’apport est confiée pour tous pays à une ou plusieurs autres sociétés d’auteurs et lorsque les territoires non couverts par l’apport sont confiés à la gestion d’une ou plusieurs autres sociétés d’auteurs, étant précisé que les territoires de gestion directe de la société hors de l’Union Européenne ou de l’Espace Economique Européen où la société fait des investissements et où les difficultés de gestion rendent l’unité du répertoire indispensable
– tels que le Canada et le Liban – ne sauraient être dissociés de l’apport sauf accord de
la société.Les catégories de droits sont les suivantes :
1° Le droit de représentation ou d’exécution publique général y compris le droit de représentation des oeuvres cinématographiques et audiovisuelles ;
2° Le droit de radiodiffusion y compris le droit de retransmission simultanée et intégrale des programmes radiodiffusés par tous moyens de télécommunication et le droit de réception publique desdits programmes ;
3° Le droit de reproduction sur supports de sons y compris le droit d’usage public de ces supports licités pour l’usage privé ainsi que le droit d’exécution publique au moyen de ces supports ;
4° Le droit de reproduction sur supports de sons et d’images y compris le droit d’usage public de ces supports licités pour l’usage privé ainsi que le droit d’exécution publique au moyen de ces supports ;
5° Le droit de reproduction des oeuvres dans des films destinés à la projection dans les théâtres cinématographiques et pour lesquels ces oeuvres ont été spécialement écrites ;
6° Le droit de reproduction sur des oeuvres préexistantes pour la reproduction desdites oeuvres dans les films destinés à la projection dans les théâtres cinématographiques ;
7° Le droit de reproduction mécanique et le droit de représentation ou d’exécution publique pour l’exploitation des oeuvres dans le cadre de services interactifs fournis au moyen de réseaux électroniques avec ou sans fil utilisant les protocoles Internet (IP), WAP (SMS ou MMS notamment) ou autres protocoles similaires ;
8° Le droit de reproduction mécanique et le droit de représentation ou d’exécution publique pour l’exploitation des oeuvres dans le cadre de services non interactifs fournis au moyen de réseaux électroniques avec ou sans fils utilisant les protocoles Internet (IP), WAP (SMS ou MMS notamment) ou autres protocoles similaires ;
9° Les droits d’exploitation résultant du développement technique ou d’une modification de la législation dans l’avenir.
Cet article définit 9 catégories de droits et précise que l’on peut limiter à une ou à plusieurs catégories l’apport que l’on fait à la SACEM. C’est donc ce que fit le groupe en question en se réservant les catégories de droits 7 et 8.
Cette possibilité de se réserver les droits internet, Mr Petitgirard nous en avait déjà rebattu les yeux et les oreilles (deuxième table ronde : les nouvelles libertés du droit d’auteur), donnant l’image d’une société à l’écoute de ses jeunes pousses qui rêvent de succès mais aussi de liberté ! Haro sur les plate-formes musicales all over the world 2.0…
Toutes les plate-formes ? Même Jamendo, qui prétend aussi que cette compatibilité existe ?
Liberté liberté chérie… un bel argument pour attirer les nouveaux arrivants dans cet Eldorado numérico-musical déjà bien encombré d’intermédiaires de tous poils promettant monts et merveilles. Mais qu’en est-il de la liberté accordée à ceux qui téléchargent ? Car c’est bien ce dont s’occupent les licences ouvertes comme les Creative Commons. Ce « droit internet réservé » est-il soluble dans la licence CC… ou inversement ?
La réponse est NON, bien sûr.
Pour s’en convaincre, il suffit de reprendre une à une les catégories de droits qui restent gérées par la SACEM. Sont-elles compatibles avec les droits accordés par une licence libre même la plus restrictive comme la CC by-nc-nd …? Je vous laisse jouer chez vous à la maison : imaginez la diffusion de l’œuvre téléchargée dans différentes circonstances : fête de l’école où les enfants vont reprendre à tue-tête le titre phare de notre « groupe pionnier » (bien sûr cela vous rappelle quelque chose…), la diffusion sur les baffles de la bodega des 20 ans pendant les fêtes du village, une compilation produite par un netlabel fan de notre groupe, … et confrontez-la à ces 9 autres catégories de droits (nb : le point 5 ne nous concerne pas).
Résultat : si vous arrivez à la même conclusion que moi vous pouvez éliminer toutes les catégories restantes.
Autrement dit, il faudrait se réserver tous les autres droits et dans ce cas l’inscription à la SACEM serait comment dire…. nulle et non avenue, à moins que ce soit le choix d’une licence libre qui le soit ! Cela dit, c’est parfaitement cohérent avec l’opposition de la SACEM aux licences ouvertes, et aux dernières nouvelles cette position n’a pas changé (voir en bas de page le paragraphe intitulé : Partie relative à la SACEM – Informations relues par la SACEM, octobre 2005-).
En résumé : choisissez votre camp, camarades !
Voilà ! Tout ce bruit pour rien, ou presque … de la publicité à peu de frais pour les différents protagonistes de cette affaire : notre petit groupe, la gentille SACEM et la consensuelle plate-forme de téléchargement Jamendo.
Ok, donc on est d’accord : pas de compatibilité avec les licences ouvertes pour les adhérents de la SACEM même si elle leur accorde un brin de liberté en les autorisant à gérer leur droits sur internet.
Mais, qu’en est-il des droits accordés aux braves gens qui téléchargent les titres en « droits internet réservés »… sans licence ?
Si vous reprenez les catégories de droits conservées par la SACEM, vous vous rendrez bien vite compte que hormis la copie privée, il ne reste pas grand chose. En effet, certains usages non commerciaux sont soumis à rémunération. Et c’est là LA grande différence avec les licences ouvertes.
Et même la diffusion en podcast sur un quelconque site, perso ou pas avec ou sans pub est soumis à l’autorisation préalable du groupe, qui devra rédiger une licence sur mesure : bon courage les gars !
Dernier point, la lecture des commentaires sur l’annonce de cette avancée révolutionnaire sur le blog de PhilAxel est pour le moins édifiante. On a la sensation que l’on veut forcer la main à la SACEM, peu importe le flou juridique et l’absence d’information donnée aux utilisateurs. Les auteurs et les intermédiaires de la musique qui s’y expriment font peu de cas des droits de ces utilisateurs et interprètent les clauses des licences Creative Commons, au gré de leurs intérêts personnels des plus subjectifs.
Or, il y a déjà des cas de réclamations à des sites réels ou virtuels qui pensaient diffuser de la musique libre et qui se sont vus taxés au forfait car un artiste de la liste faisait partie du répertoire d’une société de gestion collective des droits.
Apparemment cela ne pose aucun problème de conscience à ces « révolutionnaires » … eux ne seront jamais inquiétés. Au contraire, ils seront chouchoutés par la SACEM qui (malgré un discours parfois inverse, de type « les auteurs du dimanche »… on n’en est pas à une contradiction près) aura besoin dans le monde concurrentiel dans lequel elle entre, d’affirmer sa suprématie par le nombre de ses adhérents : « voyez combien ils sont nombreux ! »
Rappelons juste que lors d’une intervention pas si ancienne, Mme Kerr Vignale (Direction des Relations Clientèles de la SACEM) a qualifié les licences Creatives Commons de « dangereuses. »
Ici, nous ne cesserons donc pas de répéter encore et encore : tant que la SACEM ne modifie pas sa volonté et donc ses statuts, la compatibilité avec les licences ouvertes, même les plus restrictives, n’existera pas !
Nous ne cherchons pas à forcer la main de la SACEM dans ce sens, en tous cas pas au détriment des utilisateurs. Néanmoins nous apprécierions grandement que l’information donnée par la SACEM à ses membres soit bien plus claire et argumentée, quelque soit le choix des auteurs pour la gestion de leurs droits internet.
JosephK codeur émérite es ITheora, format ouvert qui est à la vidéo ce que le ogg vorbis est à l’audio, à créé un superbe widget permettant d’écouter Radio Dogmazic sur son blog/site. Nous l’en remercions vivement !
Ce lecteur vraiment complet permet d’utiliser différents plugins de lecture (plugin multimedia du navigateur, plugin multimedia du système, plugin java…). Il peut aussi se détacher sous la forme d’un popup, afin de ne pas vous gèner dans votre navigation.
Alors, qu’attendez-vous pour l’installer sur votre espace ? Le seul effort que vous aurez à faire sera de copier ces quelques lignes de code…
Pour obtenir ceci :
L’essayer, c’est l’adopter, non ?
Quand on parle linux, on pense de plus en plus à produire, enregistrer dans des conditions vraiment professionnelles avec le matériel dont les qualités sont au rendez-vous.
Le site LinuxMao nous sauve la vie et nous donne sa sélection de liens concernant le matériel professionnel supporté sous linux pour la production audio. Du beau monde en perspective pour que les productions sous linux aient véritablement la qualité qu’elles méritent !
Source : LinuxMao
Musix 1.0
Quand les argentins se mettent à produire une distribution audio pro cela donne, Musix ! La dernière version de cette distribution est de sortie, préparez vos graveurs de dvd, c’est du lourd.
Avec une interface unifiée entre Gnome et KDE, toutes les applications auront la même apparence, cette distribution basée sur la Knoppix (elle-même basée sur Debian) se veut créative jusqu’au bout des octets avec les logiciels pour l’audio (Ardour, Rosegarden, Jack…), ceux pour la vidéo (Cinerella…), pour le graphisme (Gimp, Inkscape…), pour la 3d (Blender…)… une distribution à tout faire pour, dixit le site, « éliminer Windows » et « arrêter d’acheter du matériel sous DRM ».
Les objectifs de la distribution :
Nous avons aujourd’hui atteint tous les objectifs définis il y a deux ans pour le système:
- Logiciel 100% libre (donner conscience de l’importance des libertés face à la technologie)
- Dédié à des tâches éducatives et didactiques
- Qu’il serve également de support de démonstration (la caractèristique « Live CD » aide beaucoup en ce sens)
- Simple d’utilisation pour tous-tes utilisateur-trice, expérimenté-e ou non
- Offrir une documentation claire et à jour sur les applications (en espagnol et anglais pour l’instant), des introductions pour les novices, des textes philosophiques
- Doit être utilisable également comme distribution GNU/Linux de bureau (Internet, office, graphisme, jeux, etc.)
- Contenir sur le disque des instruments MIDI; de cette manière l’utilisateur-trice peut commencer à l’utiliser sans avoir besoin de chercher des sons et des instruments sur internet
- Parfaitement adapté aux utilisateur-trices de diverses langues
- Compatible avec les dépôts libres du système Debian
- Instalable sur le disque dur
- Utiliser un Kernel dédié au multimédia (et pouvoir le lancer comme utilisateur normal, non-adiministrateur)
Source : Musix, Musix en FR
Bonne productions libres !