Radio Amarok

Les non linuxiens ne connaissent sans doute pas Amarok le lecteur/gestionnaire de fichiers musicaux le plus poussé sous linux (environnement KDE). Une petite piqûre de rappel.

amarok

Amarok est considéré comme le meilleur lecteur de musiques tout OS confondu. Ses fonctionnalités sont multiples et extensibles (grâce à des scripts conçu pour le logiciel).

Ses principales fonctionnalités sont :

  • Fonctionnalités de lecture
  • Intégration de logiciels
  • Interaction
    • Interaction avec des logiciels externes
    • Interaction avec du matériel
      • Support de l’iPod
      • Possibilité de configuration manuelle d’un appareil non reconnu (Lecteur format clef USB générique)
    • Gestion des raccourcis globaux
  • Fonctionnalités esthétiques
    • Fondu enchaîné (crossfading)
  • Interaction avec des Web services
    • Utilisation de MusicBrainz pour compléter les tags ID3 des chansons
    • Récupération des paroles des chansons
    • Récupération des couvertures d’albums sur le site Amazon
    • Intégration dans Amarok d’un onglet Wiki récupérant sur Wikipédia les articles sur l’album, l’artiste ou la chanson en cours d’écoute
    • Gestion intégrée et support des flux radio de Last.fm
    • Intégration du site de vente de musiques sans DRM Magnatune
    • Permet l’abonnement aux flux RSS pour la baladodiffusion

amarok

Venons-en au sujet de l’article maintenant.

Le site Radio Amarok est un site dédié à la promotion du logiciel ainsi qu’à la promotion de la « free music ». Ils sont un peu en panne d’idée design pour leur prochaine version de leur site, aussi ils demandent à leurs lecteurs/auditeurs de leur soumettre des idées ! Le tout devra être publié en CC-By-NC-SA et envoyé avec les sources en SVG/PNG/PSD avant le 3 novembre.

radioamarok

A vos gimp !

Sources :

Radio Amarok , Wikipedia , KDE-News.

Universal Edition = La culture qui paye pas c’est de la merde à éradiquer

Résumons sous un titre non pas violent mais simplement éloquent la nouvelle attaque des marchands à front de taureau contre la culture : le site IMSLP International Music Score Library Project qui propose plusieurs milliers de partitions du domaine public selon la loi canadienne moins restrictive que les lois européennes (50 ans après le décès du compositeur) a reçu des lettres de menace d’Universal Edition. Or on peut les télécharger depuis d’autres pays (cela s’appelle internet) et donc, le site est fermé.
Quelle grande victoire pour la culture, heureusement ainsi protégée, quelle grande victoire pour Universal Edition, « universel protecteur des arts ». Pouahh…

L’habituel choeur des vierges effarouchées, petites mains sans vergogne du flouze caïd mondial se récrieront « – mais comment, c’est normal, il faut bien rémunérer gna gna gna… » Taratata, il s’agit ici d’oeuvres du domaine public, plus guère rentables de l’aveu même de ceux qui détiennent les droits (lire infra), et ne veulent se fatiguer à rééditer, mais ne sauraient tolérer qu’accès soit offert sans graisser leurs fainéantes pattes.

Cela rappelle la pertinence de l’initiative eldred.cc, lancée par des défenseurs du domaine public, des biens communs, de la culture, dans les années 2002-2003 : il s’agissait – il s’agit toujours – de « sauver les oeuvres orphelines », c’est-à-dire, les oeuvres dont les ayant-droits n’ont plus que faire, se foutent, en fait, car ça ne paye plus.
Or donc, argumentaient Eric Eldred et ses compagnons, instaurons un processus simple : quand une oeuvre tombe ou va tomber dans le domaine public, si l’ayant-droit le juge de son intérêt, qu’il paye donc 1 dollar – oui : 1 dollar – pour prolonger la durée de ses droits. Sinon, preuve étant administrée par l’ayant-droit lui-même que l’oeuvre désormais lui indiffère, qu’elle soit versée au domaine public, pour que les amoureux de cette oeuvre puissent continuer à lui donner le soin qu’elle mérite, et qu’eux savent bien lui donner.
Mais non. L’affaire ne fut pas gagnée. Contexte Sonny Bono Act, les gros sous de Mickey, j’en passe, etc. On connaît la chanson.

Et voici donc le nouveau cas (merci à Xorios qui nous relaie ce message de chris28 sur Framagora) :

« IMSLP International Music Score Library Project qui propose plusieurs milliers de partitions du domaine public selon la loi canadienne moins restrictive que les lois européennes (50 ans après le décès du compositeur) a reçu des lettres de menace d’Universal Edition. Les partitions proposées étant téléchargeables à partir de pays où elles sont encore protégées. UE demande un filtrage des adresses IP ou la fermeture du site. Malgré le soutien des nombreux utilisateurs (universitaires, compositeurs, simple musiciens …) le site est actuellement fermé. Des propositions de reprise sont lancées notamment par le parti pirate suédois en espérant que toute la richesse d’IMSLPF puisse survivre.

Il est d’autant plus rageant que certains éditeurs possédant les droits sur des oeuvres ne les publient pas ou alors à des prix exorbitants. Un ami mexicain me racontait que beaucoup des superbes pièces pour piano de Manuel Ponce étaient introuvables car l’éditeur américain possédant les droits ne trouvait pas assez rentable de les publier. Appréciant beaucoup la musique de Louis Vierne (1870-1937), j’ai essayé de me procurer ses Préludes, Nocturnes et Solitude pour Piano mais ce n’est vraiment pas évident, il faut s’adresser directement à l’éditeur : les partitions sont parfois épuisées ou tout simplement introuvables en France (comme les Préludes). Finalement j’ai pu télécharger toutes ses oeuvres sur la page consacrée à Louis Vierne sur IMSLPF avant sa fermeture. Un projet comme IMSLPF doit être soutenu, il s’agit de protection du patrimoine musical mondial. Qui jouera du Vierne ou du Ponce si leurs oeuvres ne sont plus publiées ?

Forum d’IMSLPF : http://imslpforums.org/viewforum.php?f=1 »

Edit 24.0ct. : cicelle (comment. #7) apporte une précision : aucun lien direct entre Universal Edition A.G., l’édteur en question, et Vivendi Universal. Universal Edition n’est pas un département de VU. les relations existent cependant, par ex. Ricordi, le partenaire italien de UE A.G., est propriété de VU. mais bon : dont acte.

1000 jours de musique libre

Mille jours d’existence pour l’archive de musique libre de dogmazic.

logo Musique-libre.orgA l’époque, les Creative Commons n’étaient pas encore lancées en France et nous étions les seuls a consacrer une plate-forme à la musique en licence libre. Le site s’appelait musique-libre.org.
Depuis de nombreux acteurs ont vu le jour pour contribuer à l’essor de ce qui est devenu un véritable mouvement.

Longs débats avec la communauté du logiciel libre au sein de laquelle l’enthousiasme n’était pas unanime. Libres, pas très libres, nous parlons désormais de musique en licences ouvertes, montrant que l’ouverture ou la liberté accordée sont variables d’une licence à l’autre.

Au départ, il nous avait été bien difficile de rassembler quelques dizaines de titres à proposer sur notre site.
Quelques artistes toujours actifs sur dogmazic s’en souviennent encore.
Désormais, jusqu’à 200 000 écoutes et téléchargements sont effectués quotidiennement, plus de 16000 titres sont disponibles.

Les inscriptions de morceaux sur dogmazic

Ces 33 mois ont été denses, riches en rencontres, réelles et virtuelles, en débats passionnants et animés, et surtout une masse énorme de travail bénévole aujourd’hui déployée par une quinzaine de personnes, toujours dans l’urgence, avec les moyens ridicules que vous connaissez.
Nous étions trois au début de l’aventure, basés à Bordeaux. L’été suivant, le site a pris de l’assurance avec l’arrivée d’un programmeur digne de ce nom dont l’efficacité continue de nous épater : xulops. Deux excellentes recrues ont rejoint l’équipe en même temps : Christophe, dont le professionalisme a fait, par exemple, que la borne Automazic voit le jour, et Didier dont le dynamisme et l’enthousiasme sans faille a toujours permis de recadrer les débats et d’avancer.
Nous avons été rejoints ensuite par Edised, Marcovitch, Blacknose, Mpop, Aisyk, Julien, Pelf, qui ont su trouver leur place et chacun apporter énormément dans différents travaux, et le meilleur reste à venir.

Cette archive va aujourd’hui être disponible au sein des médiathèques et qui sait, plus tard dans d’autres lieux publics.
L’intérêt des médiathèques pour Automazic démontre une véritable reconnaissance de l’alternative que nous prônons depuis tant d’années. C’est assurer un peu plus la culture pour tous et par tous.

Quant à Pragmazic, il vise à structurer le secteur de la musique en licence ouverte. Car rappelons qu’un label est avant tout un soutien moral, artistique et logistique pour l’artiste. Nous espérons que Pragmazic contribuera à démontrer qu’un modèle juste est possible dans la distribution commerciale de la musique.

Nous avons le sentiment de ne jamais avoir trahi la mission que nous nous sommes fixée par l’objet de l’association Musique libre ! :

  • Soutenir & promouvoir la création & l’exploitation musicale indépendante dans le cadre des licences libres.
  • Militer pour la gestion individuelle des droits d’auteur auprès des sociétés civiles, organisateurs de spectacle, labels & diffuseurs.
  • Informer les artistes & le public sur les modes émergents de diffusion & d’exploitation des œuvres musicales à l’ère numérique & sur l’économie qui en découle.

Les mois et années qui viennent risquent de demander toujours plus de travail,
nous rappelons à tous que nous sommes éternellement à la recherche de développeurs, de graphistes, de rédacteurs, et de toute âme qui se sentirait un rôle dans ce projet.

Merci à tous de participer en tant que mélomane ou en tant qu’artiste au succès de cette aventure.

Un merci particulier à tous les généreux donateurs qui contribuent par leur générosité à maintenir dogmazic.net en vie.

Automazic : Borne d’écoute et de dépôt de musique en licences ouvertes

Nous sommes très fiers de vous annoncer la naissance d’un projet que nous avions en tête depuis quelques années :

borne e face

(c) Alchimie

La borne interactive Automazic est un concept original de l’association Musique Libre ! , son design a été réalisé par l’agence Alchimie (Marseille).

Il s’agit d’un point d’accès public à la musique présente sur le site de l’association entièrement piloté par du logiciel libre (Ubuntu, Firefox,…).

Elle sera installée dans les lieux publics de telle sorte que les visiteurs puissent écouter, télécharger ou déposer gratuitement des musiques en licence ouverte sur tout type de périphériques USB 2.0 (en fonction des drivers constructeurs bien sûr) et aussi sur CD/DVD RW.

La borne Automazic a été pensée et étudiée en concertation avec certains responsables des médiathèques de France (ACIM), notamment la médiathèque de Gradignan (33), afin de répondre à plusieurs attentes :

  • Enrichir le catalogue musical existant des bibliothèques musicales avec une archive dense de musique originale ;
  • Procurer une visibilité plus importante aux artistes de dogmazic.net qui ont fait le choix de diffuser leurs oeuvres en licences ouvertes en leur proposant un moyen supplémentaire pour diffuser leurs oeuvres ;
  • Partager un catalogue riche et varié avec un large auditoire au sein de hauts lieux culturels que sont les médiathèques ;
  • Informer le public sur les enjeux de la musique en licence ouverte grâce à une documentation claire, et le sensibiliser sur les potentiels de partage et de création offert par ces licences.

Le premier prototype de borne Automazic sera inauguré à la médiathèque de Gradignan le 3 novembre prochain, toute notre équipe sue en ce moment pour qu’il voie le jour en temps en en heure !

Pour plus d’infos sur Automazic ? suivez ce lien !

Concert LIBRE Chamelier GNU V – Montâgne – Anthurus d’Archer – Genbaku Orchestra – LE MANS (72)

L’AMMD présente :

AVEC :

MONTAGNE
Les Princes des hauteurs orgasmisques

Composé des membres de la compagnie des musiques à ouïr, de Melosolex ou du sacre du tympan, ayant notamment joué avec Arthur H., Brigitte Fontaine, andré Minvielle…, ce collectif trio (!) enchaîne les performances, les morceaux de love punk énervés, les chorégraphies virtuoses, les acrobaties maladroites, les séquences vidéos sophistiquées, le théâtre naïf, la Air Music… Une fable écologique et torses nus !

ANTHURUS D’ARCHER
Les amours bohêmes torturées

Anthurus ne craint pas la technologie, aime envoyer le pâté sur scène, et parce que ses membres jouent assis, sans batterie, des morceaux grotesques et souvent sarcastiques, basés sur le gipsy jazz, Anthurus est le seul groupe de manouche métal au monde ! Anthurus, sans complexe, a déjà ouvert Dilligner Escape Plan et contient des membres du Big Band de Marc Ducret, du Nasal Retentive Orchestra, ou encore de Klone.

GENBAKU ORCHESTRA
Le souffle de l’explosion sentimentale

littéralement l’Orchestre Atomique, Genbaku Orchestra est un collectif d’improvisation dirigée avec les mains et tout ce qui y ressemble dans une certaine mesure, avec ou sans ongle. Genbaku Orchestra est protéïforme, mais sera 17 le 19. Genbaku Orchestra a enchaîné d’une traite une prestation remarquée à l’Europa Jazz Festival 2007

  • Bonus

Bornes de téléchargement d’Arts Libres – Stands Associatifs – Consommations biologique et locales…

  • Entrée Libre – Sortie au chapeau

L’argent ne doit pas être une limite d’accès à la culture, chacun(e) est invité(e) à faire don de la somme de son choix afin de contribuer aux frais d’organisation

  • Arts Libres

Les oeuvres diffusées et/ou exposées au cours de cette soirée sont déposées sous des licences libres, libérant ainsi les spectateur(trice)s en leur donnant des droits, outre l’écoute (enregistrement, copie, diffusion, etc.). Plus d’infos sur les stands sur place.

Orga : AMMD ( infos@ammd.net, info-line : 095 234 72 48 )

[LCL007] Arrogalla : Maner »e imbentai (dub electro-ethnic)

Nouvelle sortie sur le netlabel ‘Les Cristaux Liquident‘ :


Arrogalla : Maner »e imbentai

1- pedra agutza
2- a bisur »e mraxani
3- furriada/revolution v 2.0

> tracklisting & infos

A propos de l’artiste :

Arrogalla produit du dub ethno/electronique depuis 2003. Originaire de Quartu Sant’Elena en Sardaigne, son style est contaminé par la musique populaire sarde et plus généralement méditerranéenne), ce qui lui confère une coloration unique !

Radiohead : pay as you please !

Entendu sur France Inter ce matin.

Le prochain album de Radiohead « In Rainbows » sera disponible en deux versions. Une version accessible via leur site internet où le prix sera « pay as you please » (= payez comme ça vous plaît) et une version « collector » à prix fixe (environ 60 euros).

L’image du site de Radiohead qui annonce leur prochain album.

L’album à prix libre (avec un minimum de 0.65 € de frais) de zéro à ce que vous voudrez y mettre, telle est la stratégie pour « contourner les maisons de disques » dixit un article du Courrier International. N’acceptant pas que Itunes vende ses albums en pièces détachées, le groupe s’est séparé d’EMI, sa maison de disque et distribuera son album exclusivement sur son site. Radiohead considère ses albums comme des oeuvres à part entière.La version collector déjà disponible en pré-commande (il sortira en décembre) contiendra l’album cd, un livret de 40 pages, 2 vinyles et un autre cd.

La chute des ventes de disques mène les artistes vers des expérimentations originales pour vendre leurs albums. Après les morceaux de musique cachés dans les WC des concerts de Nine Inch Nails, la prochaine étape sera-t-elle la libre diffusion sous licences libres ?

Source : Courrier International, France Inter (émission du « sept dix » du 02 octobre 2007 à 13 minutes 50), 01net.

Web-radios, des accords et des prix.

Une actualité très chargée en ce moment, le monde de la musique bouge sur internet.

Pour créer une web-radio avec des titres Sacem, il vous faut des autorisations des sociétés de gestion. Outre la Sacem (droit d’auteur), il vous faut aussi contracter avec les sociétés de gestion de droits des producteurs et interprètes (droits voisins). Lors des débats sur la loi DADVSI, un amendement refusé voulait étendre le système dit de « licence légale » appliqué aujourd’hui aux radio hertziennes et aux tv, aux web-radios.

La licence légale est un système de forfait annuel permettant à une radio hertzienne ou une chaîne tv de diffuser, moyennant finances, les musiques illustrant leurs reportages, leurs émissions, leurs programmations.

Ainsi, tous les sites internet voulant diffuser de la musique gérée par la Sacem doivent contracter avec la Sacem et les sociétés de gestion des droits voisins (producteurs / interprètes). Les cas de non autorisation sont nombreux, le plus célèbre étant celui de Deezer, ancien BlogMuzik, qui n’avait pas d’autorisation des producteurs pour l’ouverture de son service de musique streamée. Selon nos informations, le site est toujours dans l’illégalité puisqu’aucun accord a été conclu avec les sociétés de gestion de droit.

Le 15 septembre donc, des accords ont été annoncés entre Technopol et les sociétés de gestion collective des droits de producteurs de phonogrammes, la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques) et la SPPF (Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France). Ces accords ne concernent que les web-radios diffusant des musiques électroniques.

Reste des accords plus larges à conclure pour les différents acteurs.

Après les accords conclus entre les sociétés de producteurs et France-Webradios, la Sacem et et cette dernière (l’Association Nationale des Web-radios) sont parvenues à un nouvel engagement sur les contrats type et les rémunérations prévues.

Extrait :

Par cet accord, les webradios associatives pourront diffuser sur leur site Internet les oeuvres du répertoire de la SACEM, pour leur activité d’écoute en flux continu.

Par cette signature, les auteurs, compositeurs et éditeurs de musique dont les oeuvres diffusées par des webradios associatives seront rémunérés à hauteur de 6% de l’ensemble des recettes avec pour toute webradio dont :
– le budget annuel est inférieur à 20.000€, un minimum de 60€ par mois pour les trois premiers canaux de diffusion,
– le budget annuel est inférieur à 40.000€, un minimum de 120€ par mois pour les trois premiers canaux de diffusion.

Cet accord remplace le contrat précédemment mis en place par la SACEM.

Grille tarifaire

A ces sommes s’ajoutent donc les tarifs négociés avec les producteurs (qui sont à peu près les mêmes que ceux négociés par Technopol, le lien sur le site officiel du SCPP n’étant plus valide), soit : 240€ HT (pour la SCPP) + 120€ HT (pour la SCPF) par an.

Comptez bien, avec les 720€ HT ça nous donne un total de …. roulement de tambours…. 1080€ HT par an pour enrichir Zazie, P.Nègre et leurs copains ! Tout cela reste encore bien cher pour un modeste site perso qui veut se faire sa petite playliste.

radio canard

un exemple de radio canard…

Heureusement qu’avec les modules playlistes de Dogmazic, vous pouvez créer vous-même une liste de musiques, puis la partager avec vos amis, leur envoyer par mail, la publier sur la radio et reprendre les podcast sur vos sites !

Sources : SCPP, Les Catalyseurs Numériques, France-Webradios, Technopol, PC-Inpact, Radio-canard, Et un grand merci à leto_2 du forum Framasoft.